Rencontres animées par Mathieu Dochtermann, journaliste spécialisé dans le spectacle vivant. Rédacteur en chef de MANIP, fondateur de puppetgazette.net, il écrit pour divers supports comme La Terrasse, La Lettre du Spectacle…
Trajectoires féminines
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Jeudi 7 août
18h00
Sous la Halle
Comment la création s’empare-t-elle de sujets spécifiquement féminins ? Aborder des problématiques de société par le prisme du féminin, décale et ouvre le regard sur des sujets sensibles, intimes, trop rarement partagés.
Lire la suiteNous entrons alors dans des vies intérieures, des trajectoires permettant la perspective d’un féminin au pluriel.
Avec Aurélie Hubeau, directrice artistique de la cie Méandres pour le spectacle Alcool ; Claire Heggen directrice artistique du Théâtre du Mouvement pour le spectacle Ma p’tite dame et Eve Bigontina, directrice artistique de la cie Xannax Princesse Guerrière pour le spectacle Suzy.
Nouvelles féminités
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Vendredi 8 août
12h00
Sous la Halle
Trois femmes représentantes de la nouvelle génération d’artistes marionnettistes et metteuses en scène, nous partagent leur engagement envers des questions de société,
Lire la suitenotamment celle sur la construction des nouvelles féminités. Pourquoi et comment ces questions de genre traversent-elles leur création ?
Avec Aline Ladeira de la cie Diffraction pour le spectacle RDV à l’Aube, Laura Fedida de la F compagnie pour Cube Antigone et AnaÏs Aubry des Enfants de ta Mère pour Foetus Project.
Portrait d’artiste – Yael Rasooly
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Samedi 9 août
12h00
Sous la Halle
Yael Rasooly est chanteuse lyrique, metteuse en scène et marionnettiste. Née au début des années 80 en Israël, c’est à l’Ecole d’Arts Visuels de Jérusalem qu’elle se forme à la marionnette et à la mise en scène.
Lire la suiteLes spectacles de Yael Rasooly utilisent aussi bien le théâtre d’objet que la marionnette à proprement parler, et se distinguent par une alliance de théâtre visuel, comédie et chant. Elle est connue pour son seul en scène Papercut (2009), plusieurs fois primé à l’international. Dans Edith et Moi (2024), présenté au festival, elle explore la question de la violence au sein de la sphère intime et de la reconstruction des victimes.